M1A1 ABRAMS -
Maquette TRUMPETER 1/16è
Montage par RODOLPHE
Après avoir longuement hésité, notamment en raison de critiques assez négatives publiées sur internet, finalement elle est arrivée ce matin par la Poste … Enfin par camion parce que la première chose qui impressionne c'est la taille de la boite et, à l'ouverture de celle-ci, la taille des pièces ! Tout est démesuré ! C'est simple : le dessus de caisse ne tient pas dans une boite d'Abrams au 1/35 ! Autre détail qui saute au yeux : la qualité du moulage. Les détails présents sont précis, même si pas toujours exacts, et le revêtement anti-dérapant est correctement figuré. Malheureusement pour plusieurs raison il sera refait. Bref, comparé aux kits d'Abrams au 35è et l'inexorable inflation des prix, voilà un kit intéressant et qui présente un bon rapport qualité prix... à condition de faire de la place dans les vitrines. Cela étant, tout n'est pas parfait, loin de là. Il faut tenir compte en effet que certains choix de TRUMPETER sont liés au fait que ce kit a de toute évidence été conçu pour être radio-commandé. Il soufre donc de certaines simplifications. En outre, la nécessité de faire « solide » a impliqué par exemple le moulage des jupes directement sur le dessus de caisse, tout comme les garde-boue avant et les ressorts de maintien... moulés dans la masse (!). Plus problématique, les ingénieurs de TRUMPETER se sont sérieusement trompés sur un certain nombre de choses, erreurs qui vont générer beaucoup de travail pour les rectifier. Ainsi, la trappe du pilote est moulée fermée et à l'horizontale par rapport au sol alors qu'en réalité elle suit la pente du glacis avant. Le blindage du kit NBC présent à gauche de la caisse a aussi été moulé de l'autre côté alors qu'il n'existe pas à cet endroit. Enfin, la partie arrière gauche de la plage moteur où se trouve la trappe carburant est celle d'une version M1A2 SEP alors qu'il s'agit ici d'une version A1, et la trappe carburant elle-même (présente également bien que sur la version A2 elle n'existe plus) est trop décalée vers l'intérieur. Enfin, il y a un trou rectangulaire assez inexplicable sur chaque bord extérieur des garde-boue avant. Voilà pour le plus visible mais on verra assez vite que le nombre de détails à refaire ou rectifier est important pour amener ce kit au niveau de ses congénères au 35è. Enfin, pour un kit de cette taille, on aurait pu s'attendre à une planche de photo-découpe et de décalques un peu plus fournie, sans compter que s'agissant de la déco, le contenu de la boite ne permet pas de faire la version australienne proposée (il manque notamment le panier de tourelle supplémentaire et certains détails spécifiques à cette version). Bref, place au montage... I - Le bas de caisse : Au niveau du train de roulement, TRUMPETER a moulé des butées au niveau des bras de roues qui n'existent pas en réalité. Certaines sont assez simples à supprimer mais celles moulée sur la gravure des blocs de fixations des bras impliquent de refaire certains détails. De même, sur la partie droite du châssis, ces mêmes blocs de fixation sont moulée en arc de cercle pour faciliter le mouvement des bras lorsque le char – en version RC – roule. Bien évidemment c'est faux et il faut remettre tout ça d'équerre. Concernant les roues, il aurait été bien venu de la part de TRUMPETER de fournir des capuchons d'huile en plastique transparent, surtout à cette échelle, mais ce n'est pas le cas. Ils sont néanmoins moulés séparément, ce qui facilitera la peinture. De même, prévoir comme c'est le cas des bandages de roues en caoutchouc n'est pas très utile pour un kit statique et limite la possibilité de les endommager. Dernier gros point noir au niveau du train de roulement : le barbotin est trop petit et la couronne extérieure ne s'ajuste pas parfaitement. Heureusement ce (gros) défaut a été rectifié par David PARKER d'AFV, lequel propose désormais un jeu de barbotins en résine du plus bel effet (40€ quand même !) Sur le dessous du châssis, il faut boucher les trous prévus pour les vis de fixation du dessus de caisse et refaire les gros cordons de soudure qui traversent la caisse. Pour ce faire, les décalques/résine de chez ARCHER sont parfaits. L'aspect brut de fonderie du métal est représenté à l'aide de mastic liquide MR SURFACER de la marque GUNZE appliqué avec une brosse dure et poncé une fois sec. A l'arrière, le cadre qui sert de support au déflecteur de gaz d'échappement est moulé directement dans la masse et impossible à refaire sans tout découper. Or il n'est pas tout à fait exact, notamment dans sa partie haute. Une tige carrée de carte plastique fait donc figure de trompe l'oeil. Les grilles sont assez bien représentées. Les plus pinailleurs pourront aisément les affiner ou les refaire en carte plastique. Il a fallu également compléter les persiennes sous les grilles arrières (celles correspondant à l'admission d'air). En effet, même si cela ne peut se voir qu'en regardant le char du dessous, TRUMPETER en a oublié une de chaque côté. De même, la bordure oblique située en dessous des grilles est absente bien que son emplacement soit figuré. Sans doute TRUMPETER a-t-il là pris modèle sur le kit DRAGON mais sans aller jusqu'au bout car au 35è, cette pièce est bien présente. Au niveau des feux arrières (pièces C9 et C10), ils sont moulés avec leur tube de protection et sont en outre beaucoup trop simplifiés. Il faut donc refaire le support, les fixations et le câble de connexion. Enfin, les feux sont moulés d'un seul bloc, ce qui est franchement dommage à cette échelle. On notera que les gardes-boue arrières ont été enlevés, à la fois parce qu'il sont moulés très épais (ce qui aurait impliqué de toute façon de les refaire) mais surtout car j'ai prévu de supprimer le dernier tronçon des jupes comme sur la plupart des chars sur le terrain. Cela permet en outre de rendre le barbotin visible. Les trous correspondant aux vis de fixation sont percés à l'aide d'un foret de 0.5mm. Le reste du travail concerne les soudures de différentes tailles qui sont ajoutées ainsi que des boulons sur les charnières des bloc de grille. II – Le dessus de caisse : Sur la plage moteur, peu de choses ont été modifiées. Il faut juste refaire les anneaux de levage de la plaque principale (anneaux refaits en laiton et poncés pour obtenir une section carrée) et ajouter quelques boulons sur les grilles moteur. Le gros du travail concerne la plaque arrière gauche au niveau de la trappe carburant. Comme indiqué précédemment, celle-ci est doublement fausse : les gravures et détails sont ceux d'une version A2 (avec une trappe carburant en plus). Il faut donc poncer et boucher l'ensemble. Au niveau de la trappe carburant, la gravure est correctement réalisée mais mal positionnée. Il faut donc découper la plaque et repositionner l'ensemble plus sur l'extérieur du châssis. A condition d'y aller doucement, ce n'est pas bien compliqué. Enfin, quelques grilles omises par TRUMPETER ont été ajoutées. Elle proviennent de diverses grilles ABER. Au niveau des gardes-boues avant, il est indispensable de boucher le trou rectangulaire situé de chaque côté au niveau de la jonction avec la partie avant des jupes. Ce n'est pas forcément simple car la jupe est moulée avec le dessus de caisse et rend la zone peu accessible. Il faut aussi -et surtout- poncer et refaire les immondes ressorts de maintien moulés dans la masse. Là encore, la difficulté vient du fait que ce moulage empiète sur certains détails qu'il faut préserver, notamment la goulotte d'alimentation électrique des feux de route. Ces ressorts sont ensuite refait en tige de laiton et carte plastique. Les boulons de fixation de la goulotte électrique sont refaits, tout comme les diverses soudures. TRUMPETER a aussi oublié de figurer la partie en caoutchouc des garde-boues. Une gravure horizontale permet donc de les figurer et des rivets sont ajoutés. Un peu de ponçage n'est pas non plus superflu pour les rendre un peu moins « rigides ». La trappe pilote demande quant à elle un gros travail de rectification. Son moulage en tant que tel n'est pas mauvais mais placée à l'horizontal, le défaut est flagrant. Pour y remédier, il faut en premier lieu la découper pour la désolidariser du dessus de caisse. Le plus simple -bien que fastidieux- est de percer une multitudes de petits trous (foret 0.5mm) tout autour jusqu'à ce qu'elle se désolidarise de l'ensemble. Bien sur, il faut poncer la trappe et refaire l'encadrement dans le châssis pour créer une certaine épaisseur correspondant à l'épaisseur du blindage. Le support sur lequel vient se poser la trappe une fois fermée est également refait en carte plastique. La trappe elle-même est aussi détaillée, notamment à l'arrière des épiscopes, et on y ajoute deux essuie-glaces. Il ne faut pas non plus oublier les deux butées sur le glacis, l'une pour le maintien ouvert et l'autre pour la limite de rotation, juste à côté de la trappe carburant de gauche. Le travail de rectification continue avec le blindage vertical du kit NBC qu'il faut supprimer à droite du châssis. Cette erreur de TRUMPETER est tellement grossière qu'elle en est incompréhensible. Heureusement le plastique se découpe assez bien avec une scie fine et en se servant de la jupe latérale comme guide. Une fois cette plaque ôtée, il faut boucher le trou qui s'est ainsi formé à l'aide de carte plastique et le tout est joué. La charnière de fixation de la jupe qui a été sciée avec cette plaque est récupérée sur la pièce découpée, détourée et remise en place. Sur le kit NBC de gauche, celui qui est maintenu, il faut refaire le boulonage que TRUMPETER a représenté trop petit et ajouter une cloison verticale de carte plastique (2mm) sur la partie supérieure à la plaque. A l'avant de la caisse, une autre erreur grossière des ingénieurs de TRUMPETER a été figurer les feux avant de manière symétrique alors qu'il sont en réalité orientés dans le même sens. Pour rectifier cette erreur, le mieux est de découper la couronne externe du feux de droite et la recoller sur son support après l'avoir retournée. La face avant de ces feux est également détaillée, notamment pour représenter les boulons de serrage et le feu rectangulaire. Enfin, le crochet de levage est trop petit. Pour l'agrandir, il faut le couper en deux dans son axe, ajouter 1.5mm de carte plastique et poncer le tout en reformant les arrondis internes et externes. En dehors ensuite du revêtement anti-dérapant, refait à l'aide d'une bombe de peinture texturée moyennant un long et fastidieux travail de masquage, le reste de la maquette est montée sans difficulté. Quelques détails sont ajoutés ça et là tel que le détaillage des trappes carburants (système de fermeture et chaînette), des poignées du coffre latéral (là aussi moulée dans la masse par TRUMPETER) et des jupes latérales. Sur ce dernier point, les bandes rivetées ont été ajoutées sur toute la longueur et les marches-pied ont été refaits en tube de carte plastique et fil de cuivre torsadé. Prenant exemple sur le kit DRAGON au 35è, des petites soudures ont été ajoutées sur le pourtours des sections avant des jupes. Enfin un tube carré creux remplace avantageusement le moulage dans la masse proposé par TRUMPETER sur la partie supérieure avant des jupes. A l'arrière, les charnières rendues visibles par la suppression du dernier tronçon de jupe sont faire en carte plastique. Voilà pour la caisse. Pas mal de travail mais rien d'insurmontable. Surtout que l'échelle s'y prête assez facilement. Reste la tourelle mais heureusement les gros problèmes sont moins nombreux. III – la tourelle : Contrairement au châssis, la tourelle est globalement correctement représentée. Au niveau du canon et de son mantelet, un ponçage et masticage de l'évacuateur de fumée permet de lui donner une forme plus « arrondie », en tout cas sans angle net comme moulé par TRUMPETER. Plusieurs trous fins (0.3mm) ont également été percés sur toute la circonférence du canon, devant l'évacuateur et juste avant la bouche du canon. Une bande rivetée a aussi été ajoutée sous la première section du canon. Une petite erreur qu'il faut rectifier concerne le tube de sortie de la mitrailleuse coaxiale qui n'a pas été placé au bon endroit par TRUMPETER. Il faut donc boucher le trou prévu sur la maquette et le remonter plus haut d'environ 5mm. Le dessus du mantelet est quant à lui détaillé, notamment la partie arrière, mobile dans la réalité, avec notamment l'ajout d'une plaque en carte plastique fine et de deux charnières. Une double ligne de soudure achève le travail. On signalera que pour ajuster le mantelet sur la tourelle, les deux parois verticales de celle-ci doivent être poncées sans quoi ça « frotte » un peu ! Les pots lance-fumigènes reçoivent eux aussi quelques ajouts mais limités à des rivets. Les emplacements des fumigènes n'ont en revanche pas été percés car une fois peints, ils recevront les cartouches correspondantes. Le câble électrique d'alimentation est ajouté et raccordé à la goulotte sur la tourelle. A ce propos, cette goulotte présente normalement une extension latérale que TRUMPETER a oublié côté droit et sous dimensionné à gauche. Elles ont été réalisées avec une goulotte de même section fournie en rab (sans doute pour la version A2 du kit qui est annoncée). Le boitier connecteur allongé, caractéristique des versions récente du M1A1, près de la base du viseur panoramique en version A2 est entièrement réalisé en carte plastique. Enfin, les deux coffrets servant à stocker les cartouches fumigènes sont détailles en leur ajoutant à chacun deux charnières et en complétant le « clip's » de fermeture. Ils doivent également être collés non pas directement sur la tourelle mais en laissant un espace. Il suffit pour cela de coller une tête de boulon sur chaque patte de fixation. Les coffres latéraux doivent eux aussi être détaillés au niveau des poignées (là encore moulées dans la masse par TRUMPETER) et par l'ajout de rivets sur toute la longueur de la charnière. A l'avant des coffres, de chaque côté, l'emplacement pour une caisse de munition est entièrement refait en carte plastique fine. Les passants pour la sangle de maintien sont quant à eux en fil de cuivre. Les câbles de remorquage n'ont pas été installés sur les flancs de la tourelle car en opération, ils sont pré-installés à l'avant et à l'arrière du char pour accélérer les opérations de dépannage. En lieu et place il faut donc refaire les pattes de soutien (ici en chute de photo-découpe mises en forme autour d'un tube de même diamètre que les câbles et un « T » en tube de plastioque à l'avant qui sert à les maintenir en place. Les câbles sont refait en câble véritable (1,2mm) pour plus de réalisme. C'est au niveau du panier arrière de tourelle que les gros ennuis recommencent. En effet, il est trop large et pas qu'un peu : 5 mm ! Pour y remédier, il a fallu découper le bord extérieur de la partie droite (celle à l'opposé de l'APU) pour enlever de la matière et recoller le tout en forçant un peu l'arrondi du panier. Au passage, l'ensemble des barres horizontales sont refaites en carte plastique, ce qui se révèle plus simple que d'ébavurer les 12 sections de barre initialement moulées. L'ajustement du panier avec la tourelle n'est pas simple non plus (comme au 35è d'ailleurs !) mais en jouant sur le positionnement de la dernière partie des barres fixées sur les coffres latéraux, on obtient un alignement à peu près correct. La grille du fond de panier est fournie par TRUMPETER est s'adapte sans problème.. à condition de la fixer avant de coller l'APU ! L'APU justement est bien moulé et correctement détaillé, à l'exception des charnières qui ont toutes été refaites en mini tube de carte plastique découpés en sections de 0.5mm puis collés cote à cote. C'est long mais au final le résultat fait illusion. Les grilles de photo-découpe sont fournies avec la maquette et se collent sans difficulté. Un certains nombre de petits boulons ont été ajoutés ça et là pour compléter le tout. Le tourelleau du chef de char constitue avec le panier arrière de tourelle le 2è point noir du kit. En effet la 12,7mm est franchement ratée et les dimensions comme la forme de la trappe du chef de char sont fausses. Sur ce dernier point, il faut commencer par réduire la largeur de la partie interne de la trappe, beaucoup trop large. Visuellement elle est beaucoup trop aplatie et doit donc être coupée en deux dans la hauteur, poncée sur 2mm puis recollée en prenant soin de faire disparaître le joint. La partie externe est quant à elle modifiée par ajout d'épaisseur sur le côté droit et sur la partie basse. Il faut procéder doucement en vérifiant régulièrement qu'elle s'insère correctement dans le tourelleau. Il faut dire que la forme anguleuse est particulièrement complexe. Pour la 12.7mm, c'est plus radical encore. Pour remédier au fait qu'elle est trop étroite, il fut la couper en deux dans le sens de la longueur pour pouvoir insérer 1.5mm de carte plastique entre les deux côtés qu'il suffit de recoller ensuite. Le canon est remplacé par un set de détail ABER. Il peut être monté tel quel mais attention à bien l'aligner dans l'axe. Le support de l'arme est aussi largement simplifié dans le kit d'origine et il faut absolument refaire tout le système de tir ainsi que la pièce mobile qui fait la jonction entre l'arme et le bras support. Là encore, quelques boulons et chainettes de fixation terminent le travail. Les marquage de fonderie sont quant à eux issus de la même planche ARCHER que les soudures en utilisant les lettres et chiffres génériques qui y sont moulés (en fait ce sont les références de la planche de décalques). Au niveau de l'armement du chargeur, la mitrailleuse est correctement moulée pour l'échelle mais son support présente le gros défaut d'être moulé d'un seul bloc, avec les montant. Même au 35è ça ne se fait plus depuis longtemps ! Il faut donc découper les montants de chaque côté, boucher le trou dans le support qui en résulte et refaire un berceau. Le mieux est encore de réutiliser les montants du support après les avoir affinés et de les coller avec un léger décalage (0.3mm). La mitrailleuse en elle-même est détaillée par l'ajout de chainettes de fixation et quelques boulons ça et là. La plaque arrondie percée présente sur la droite de l'arme qui sert à la fixer dans certaines positions zénithales, est absente et doit être refaite en carte plastique très fine et vient s'insérer entre le support de la mitrailleuse et son montant. Comme on n'en voit pas grand chose ensuite, les munitions du kit sont utilisées pour alimenter l'arme même si elle sont assez moyennes. Les volets mobiles du viseur principal ont du être modifiés parce que trop petits. Cela impose aussi de repositionner les charnières verticales et la patte de fixation basse de chaque côté. Quant au boitier GPS, quelques détails ont été ajoutés mais rien de bien méchant. Les antennes fournies dans le kit sont juste abominables. Elles ont donc été entièrement refaites en tube de carte plastique tourné et tige de laiton. L'embout d'antenne est quant à lui formé à l'aide de mastic liquide. Il suffit de tremper le bout d'antenne dedans et de laisser sécher à l'envers pour obtenir une forme de goutte. Une fois sec, la boule de mastic est plongée dans de la cyano pour solidifier et uniformiser le tout (le mastic a tendance à se « fripper » en séchant) Les panneaux CIP, dont TRUMPETER ne fournit bizarrement qu'un seul exemplaire là où il en faut au moins 2 voire 3, ont été refaits en carte plastique, tout comme le gros coffre additionnel fixé sur le panier de tourelle. Les panneaux de détection chimiques à l'avant de la tourelle sont eux aussi en carte plastique. Voilà, en 3 mois le montage est terminé. Malgré ses défauts, il s'agit d'un kit facile à monter. Reste plus qu'à le peindre.... A suivre.
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